Hector Burgan est actuellement violoniste à l’Orchestre National de France, dirigé par Cristian Măcelaru.

Né de parents musiciens, il obtient en juin 2016 son prix en Master au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, dans la classe de Philippe Graffin. Il se perfectionne ensuite à l’Académie de Villecroze avec Augustin Dumay, et à la Hochschule de Leipzig avec Carolin Widmann.

Il donne son premier récital en solo à dix-neuf ans ; il interprète notamment le concerto pour violon de Brahms au Gewandhaus de Leipzig, et le concerto pour violon de Tchaïkovsky à la Philharmonie de Baden-Baden. Lors du concert Gala de l’Académie Jaroussky à Paris, il se produit à la Seine Musicale dans La Méditation de Thaïs, accompagné par l’Ensemble Appassionato et Mathieu Herzog.

En musique de chambre, il partage la scène avec Victoria Jung, les frères Fouchenneret, Michel Portal, les frères La Marca, Geneviève Laurenceau, Philippe Bernold…
Il joue à la Philharmonie de Berlin, au Konzerthaus de Berlin, au Staatsoper de Berlin, à la Philharmonie de Paris, au Teatro Colon à Buenos Aires, au Musikverein à Vienne, au Zermatt Music Festival, au Festival du Forez, à l’Opéra d’Alger, au Palazzetto Bru Zane à Venise, à la Fondation Villa Musica…

Il est invité à l’émission Générations Jeunes Interprètes sur France Musique. Sans oublier sa France natale mais très attiré par le langage et la puissance de la musique germanique, il est accepté à l’académie de la Staatskapelle de Berlin jusqu’en 2019, sous la direction du Maestro Daniel Barenboim. Il participera à l’enregistrement des quatre symphonies de Brahms (Deutsche Grammophon).

Avec son trio avec piano, le trio Harma, ils remportent un 1er prix au concours international de musique de chambre Antonio Bertolini à Crémone, et un 2ème prix et la bourse Champagne Mailliard au concours européen de la FNAPEC.

Hector Burgan est lauréat de plusieurs grands concours internationaux, il obtient deux prix à l’Académie Internationale Maurice Ravel, et le Prix Saschko Gawriloff à l’Académie Carl Flesch à Baden- Baden.
Il reçoit le soutien de la Fondation Safran, et de l’Adami.