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Laure Hélène Michel

Chambriste de coeur, Laure Hélène se produit sur scène dans de nombreux pays (France, Italie, Hongrie, Maroc, Autriche, Allemagne, Suisse, Pologne, Corée du Sud…) dans divers festivals et grandes salles, tels que le Théâtre des Champs Elysées, le Festival International de piano de la Roque d’Anthéron, le festival des Arcs, le Festival Chopin à Nohant, Les Musicales de Bagatelle, Salzburg Kammermusik Festival, Festival International Jeunes Talents, Salle Cortot, Festival Pablo Casals, Festival Piatti (Bergame, Italie), Festival Printemps Musical des Alizés (Essaouira, Maroc), Meetinpoint Music Messiaen (Görlitz, Pologne), Lotte Concert Hall (Seoul, Corée du Sud)… avec des musiciens de renom tels que Heinrich Schiff, François Salque, Clemens Hagen, Jacques Rouvier… Laure-Hélène est également aux cotés du violoniste Renaud Capuçon au sein de son ensemble à cordes les Lausanne Soloists.

Elle intègre le Trio Metral aux cotés de Joseph et Victor Metral durant l’été 2021, formation qui lui est chère, ayant effectué de nombreuses années de « trio familial » avec ses deux soeurs Gaëlle-Anne et Aude-Liesse.

Elle joue pour la première fois en soliste avec orchestre à l’âge de 13 ans, et depuis, complète régulièrement cette expérience avec l’Orchestre de Chambre de Lausanne, l’Ensemble Appassionato, l’Orchestre-Opéra de Nice, l’Orchestre Symphonique des Alpes, l’United Strings of Europe, l’Orchestre Contrepoint (Montpellier)…

Désireuse d’enrichir sa pratique musicale et de sortir des sentiers classiques, elle rejoint le Septet Bouclier, ensemble formé par les frères Boucliers (violon et accordéon) dans le but d’explorer le répertoire du monde (Astor Piazzolla, Vladimir Zolotarev, Richard Galliano…).

C’est dans cette même démarche qu’elle forme un duo avec l’organiste Thibaut Duret, afin de découvrir le vaste répertoire lié à cette formation rare.

 

Elle enregistre son premier album avec piano en 2018 (dédié à R. Schumann et J. Brahms) avec Theo Penven grâce à l’HEMU de Lausanne, album qui marquera la naissance du Duo Novae. Elle enregistre en 2019 un deuxième album intitulé Evocations en duo avec sa soeur pianiste Aude-Liesse et grâce au label Andiamo Productions.

 

C’est à Romans, sa ville natale, ou elle commence le violoncelle à seulement 3 ans dans la classe de Marie France Hubert. Elle continue ses études au C.R.R. de Lyon avec Patrick Gabard et obtient un master à seulement 20 ans au CNSMD de Lyon, dans la classe d’Yvan Chiffoleau. La même année, elle réussit l’entrée au Mozarteum de Salzburg ou elle effectue un Postgraduate avec Giovanni Gnocchi, avant d’obtenir un deuxième Master (spécialisé Soliste) chez François Salque à la Haute Ecole de Musique de Lausanne. Elle profite également des conseils de violoncellistes tels que Gary Hoffman, Frans Helmerson, Arto Noras, Jans Peter Maintz, Julius Berger..

Parallèlement, elle effectue un cycle concertiste en trio avec ses deux sœurs au Conservatoire de Paris dans la classe du Trio Wanderer. Elles profitent également des conseils du Talich Quartet, Itamar Golan, Ferenc Rados, Yves Henry, Avedis Kouyoumdjian, Hatto Beyerle, Claire Désert, Yovan Markovitch, Olivier Charlier, Emmanuel Strosser, Christian Ivaldi, et Lise Berthaud.

En 2020, elle intègre la promotion Beethoven de l’Académie Musicale Philippe Jaroussky dans la classe de Christian Pierre La Marca.

 

Elle remporte son premier concours à l’âge de 6 ans, et devient par la suite lauréate de nombreux concours nationaux et internationaux (Vatelot-Rampal à Paris ; Maurice Gendron à Fontainebleau ; Valsesia Musica en Italie ; FNAPEC à Paris ; Flame à Paris ; Mainardi à Salzburg ; Barletta en Italie…) Laure-Hélène reçoit également le prix Max D. Jost 2018, à la suite de son interprétation du concerto n°1 de D. Chostakovitch avec l’Orchestre de Chambre de Lausanne. Elle est également lauréate de la Fondation d’Entreprise Banque Populaire.

 

Egalement engagée à soutenir le développement de la musique classique dans sa région, Laure- Hélène est ambassadrice artistique du Festival Musifolia, dans la Drôme des Collines à Romans.

©Amandine Lauriol